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UNIS POUR UN MONDE MEILLEUR

UNIS POUR UN MONDE MEILLEUR
  • AJSF est une association à but non lucratif qui a pour mission de contribuer à l’amélioration des conditions de vie socio-économique et culturelle des jeunes du monde entier dans une approche de développement humain durable et participatif.
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15 mars 2019

Femmes vertueuses-Eden, une véritable machine sociale au service de son entourage

 

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Entreprendre dans le social attire de plus en plus de monde.  Il y en a vraiment qui ont encore le cœur sur la main et se battent bec et ongle pour dessiner un sourire sincère sur les visages. Malgré les difficultés qui parsèment leur chemin, Lidwine Staelle NGOUNDJI épouse MANO LINIS et son équipe font tout leur possible pour éduquer, sensibiliser et aider à l’autonomisation financière des femmes en contact avec leur ONG.

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Femmes vertueuses-Eden est une ONG fondée par Lidwine Staelle NGOUNDJI épse MANO LINIS en Juillet 2013 dans la ville de Libreville. Cette courageuse femme originaire du Haut-Ogooué plus précisément Franceville, mère de trois magnifiques filles a fait des études en management et est Life Coach certifiée depuis 2012. Le déficit d’amour, d’affection et surtout de conseils subits par son enfance sont les motivations de la mise sur pied de cette ONG. En ces phrases, elle nous conte cette parcelle de son adolescence : « Lorsque j’étais plus jeune, j’ai eu à faire de mauvais choix à cause des traumatismes divers dus aux injustices et au manque d’amour. Tout ceci m’a conduit dans une rébellion qui m’a valu l’incompréhension de mon entourage et une première grossesse à l’âge de 18 ans. Et à l’époque, malgré le soutien de ma famille, il était difficile de m’en sortir aisément. Du coup, lorsque je jette un coup d’œil sur la jeunesse aujourd’hui, j’ai vraiment les larmes aux yeux. Raison pour laquelle, je me bats pour éviter cette situation à tous ces jeunes qui m’entourent ».

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Concernant les cas déjà gérés par Femmes vertueuses – Eden, à la base, chaque femme au début de leur rencontre, est enfermée dans une histoire douloureuse. Elles œuvrent donc en synergie jour pour jour afin que chacune d’elles se défasse de ce passé douloureux et le transforme en force. Elles assurent leur épanouissement et les accompagnent sur le plan moral, psychologique, physique et financier. Elles soutiennent et encouragent également toutes celles qui ont un projet de vie basé sur la satisfaction des besoins identifiés dans l’environnement. Les femmes étant les plus ciblés par l’ONG les années précédentes, Lidwine décide de se tourner également vers les hommes cette année. Question de venir en aide à tous ceux qui sont dans le besoin peu importe leur genre en plus, cela leur permet de vraiment toucher à la famille. Ceci étant donné que leur vision reste et demeure la restauration du bonheur familial.  L’ONG considère la femme qui prend conscience de sa responsabilité dans le processus de développement de la Nation comme celle-là qui jouera forcément un rôle efficace dans un foyer monoparental ou recomposé (épouse – mère – entrepreneure). Cette femme sera épanouie et saura impacter positivement son environnement. En outre, tel que l’indique leur slogan : « Donner aux femmes les moyens pour bâtir les Nations », elles sont engagées pour la construction des Etats et en font une priorité.

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L’amour du prochain plus fort que les difficultés rencontrées

Malgré la multitude des déserts, rien ne les stope car l’amour du prochain est la fondation de toutes leurs œuvres. Et comme toute initiative, elles font face à des difficultés.  Trouver des ressources humaines fiables et engagées, identifier le besoin véritable à satisfaire pour être d’utilité publique était le premier défi. Mais le plus difficile est de pouvoir trouver du financement pour des projets de développement que présentent les femmes de l’ONG.

Aujourd’hui, elles ont décidé de faire l’impossible avec le disponible en laissant l’amour du prochain les pousser. « Car parfois, un sourire, un câlin, un mot d’encouragement, une oreille attentive vaut mieux que des vêtements, de la nourriture, de l’argent ou de l’instruction. Et tout cela est disponible chez ceux qui ont de l’amour à donner» : L’affirme Lidwine.

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Femmes Vertueuses Eden se fait des alliés

Pour les accompagner dans cette tâche, elles peuvent compter sur le Conseil National de la Jeunesse du Gabon et les Associations Membres de la Commission de la Société Civile pour la Protection des Droits des Enfants dont elles sont membres. Elles sont également en partenariat avec des réseaux et associations de femmes tels que le Réseau des Femmes Battantes. Et ont déjà eu à faire des voyages pour le compte de l’ONG. Notamment, l’année dernière, un déplacement pour le Burkina Faso a été effectué. Les retours positifs de ce voyage, propulsent considérablement le projet vers le haut et suscite le besoin de vouloir s’y implanter en cette année 2019. Avec ces femmes de cœur, elles ont pu partager leur vision et trouver un compromis qui leur permettra d’œuvrer ensemble pour la même cause et s’implanter sur tous les continent.

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Femmes vertueuse Eden jette un regard affectif sur la jeunesse africaine

La jeunesse africaine a particulièrement besoin d’amour et de modèles qui transmettent de vraies valeurs culturelles et modernes. Car, le déficit d’amour et la perte d’identité sont énormes et pose de plus en plus des problèmes. Alors, le constat déjà fait et prouvé, travailler ensemble pour limiter les dégâts afin d’assurer une Nation équilibrée aux jeunes constitue pour elles un autre défi. Un défi certainement difficile mais pas impossible. Cela passera par l’organisation des programmes de rencontre dans tout le pays et dans toute l’Afrique. Pour cela, elles comptent sur leurs partenaires locaux et leurs futures partenaires internationaux afin de permettre aux jeunes des différents pays de pouvoir en bénéficier au maximum. Dans le but de partager cette vision avec des volontaires qui feront le relais. Lidwine clôture ses propos avec ces paroles de sagesse : « Les jeunes doivent toujours avoir des rêves utiles. Ils doivent comprendre que l’environnement ou le présent ne nous définis pas le futur car, nous devenons ce que nous pensons. Alors chers jeunes, ne cesser de rêver inutilement, ayez des rêves utiles et faites tout pour les réaliser ».

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19 août 2018

Le partenaire idéal pour son projet associatif!

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A l’heure où les financements publics se font de plus en plus rares et que la générosité des gens est en baisse (selon le dernier rapport de Recherches & Solidarités), les associations prennent conscience qu’il est temps de se tourner vers de nouveaux partenaires : les entreprises. Mais comment approcher une entreprise ? Quel discours tenir ? Comment  présenter son projet ?

1. Aimez votre projet – Faites rêver l’entreprise

Lorsque vous présentez votre projet, que cela soit à l’écrit ou à l’oral, vous devez faire passer de l’émotion dans votre façon de raconter. Lorsque l’on parle ici d’émotion, on ne parle pas d’un discours alarmiste ou misérabiliste, bien au contraire, vous devez donner envie ! Vous devez susciter l’intérêt sans toutefois mettre de côté la pertinence, la viabilité, l’intérêt et l’impact qu’à votre projet sur la société, car c’est aussi cela qu’une entreprise recherche lorsqu’elle soutien un projet.

Gardez en tête que la construction d’un partenariat se passe avant tout par une rencontre, un échange, un coup de coeur.

2. Intéressez-vous à l’entreprise, ses motivations & enjeux

Avant de rencontrer une entreprise, vous devez impérativement vous renseigner sur son activité économique, sa stratégie de mécénat et ses réelles motivations à vouloir devenir mécène. Cela vous permettra de mieux comprendre votre interlocuteur, ses besoins et sa vision d’un partenariat. Vous pourrez déterminer ce qui est réellement important pour lui et mieux appréhender ses doutes, ses peurs, ses questionnements.

Et si l’entreprise ne fait pas encore de mécénat, essayer de comprendre pourquoi !

3. Privilégiez les contacts humains 

Beaucoup d’entreprises ou de fondations mettent en place aujourd’hui des appels à projet pour soutenir les associations. Il est alors plus difficile d’entrer directement en contact avec les personnes en charge du mécénat.

Toutefois, il est grandement recommandé, de trouver la personne de référence au sein de la structure et de pouvoir établir un premier contact avec elle, voire d’obtenir un rendez-vous. Les relations humaines sont primordiales dans la réussite de votre recherche de partenaires. Une personne vous ayant rencontrée, avec laquelle vous avez pu échanger sur votre association, votre coeur de métier ainsi que votre projet, aura plus de chance de retenir votre dossier lors de la sélection.

4. Adaptez-vous aux modes de communication de l’entreprise

Le monde associatif et le monde de l’entreprise ne fonctionnent ni sur les même codes, les même moyens ou les même stratégies de communication. En tant que porteur de projet, il est alors important d’adapter votre communication et votre discours à celui de l’entreprise afin de mieux vous faire comprendre et favoriser l’échange. Ceci sera facilité par les recherches que vous ferez en amont sur l’entreprise (cf. 2. Intéressez vous à l’entreprise, ses motivations et enjeux).

Soyez clair, concis, précis et décrivez votre projet sans vous éparpiller !

 

 

5. Ne voyez pas l’entreprise comme une simple source de financements 

Le mécénat n’est pas une transaction commerciale, il ne faut pas le confondre avec du sponsoring ou parrainage. A ce titre il est important de comprendre que les entreprises ont des motivations beaucoup plus subtiles et profondes qu’une simple transaction financière, comme expliqué dans mon article « Mécénat : Pourquoi les entreprises donnent-elles ? ». Il est donc important que vous privilégiez l’originalité de votre projet et son utilité sociale et ne reposez pas l’entièreté de votre discours sur les contreparties que vous avez à offrir.

6. Diversifiez vos propositions de mécénat 

Lors de votre approche d’un nouveau mécène, ne pensez pas seulement au mécénat financier, de plus en plus d’entreprises cherchent à impliquer leurs salariés dans les projets qu’elles soutiennent. Une association leur proposant d’y associer du mécénat de compétences sera certainement beaucoup plus attractive et démontrera que vous avez pris le temps de réfléchir à la construction d’un réel partenariat. De plus, il ne pourra que faire progresser votre projet.

D’autre part, l’implication de salariés sur votre projet permettra d’établir des relations plus fortes entre vous et l’entreprise et contribuera à fidéliser votre partenaire.

Vous pouvez également penser au mécénat en nature, que 33% des entreprises mécènes pratiquent (contre 11% pour le mécénat de compétences).

7. Pensez que l’entreprise est un véritable partenaire et inscrivez la relation dans la durée

Les points précédemment abordés renforcent cette idée de partenariat. Vous devez penser que l’entreprise qui vous soutiendra est un réel partenaire pour la réussite de votre projet et non pas une banque.

Vous trouverez quelques conseils sur la relation partenaire ici.

8. Ne mentionnez les avantages fiscaux seulement si l’entreprise ne les connait pas 

Les avantages fiscaux sont certes incitatifs mais ne sont pas la principale raison qu’une entreprise a de soutenir un projet. Ces motivations sont nombreuses, comme décrit ici et relèvent plus d’un processus d’implication et d’accompagnement de son environnement direct.

De plus, sachez que les fondations d’entreprise ne sont pas concernées par les avantages fiscaux car les entreprises ont déjà défiscalisé les dons qu’elles ont fait à leur fondation.

9. Personnalisez votre approche

Ne répétez pas le même discours, le même projet, les mêmes propositions de partenariat à toutes les entreprises que vous sollicitez. Montrez que vous êtes intéressés par ce que l’entreprise fait et que vous avez compris ce qui la caractérise et la différencie des autres.

Faites sentir à l’entreprise que c’est un partenaire privilégié.

10. Préparez-vous et ne désespérez pas !

Avant un rendez-vous, vous devez penser votre discours en fonction du public que vous aurez en face de vous. Vos interlocuteurs ne seront pas forcément familiers avec le monde associatif, votre thématique ou encore les questions de mécénat. Vous devez être prêt !

Vous devez également réfléchir à l’ensemble des questions qu’une entreprise pourra vous poser sur votre structure, votre projet, sa justification ou encore son impact.

Pour terminer, testez votre discours !

9 février 2018

AFRIQUE/NIGER : L’ENTREPRENEURIAT DES JEUNES

 

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« L’entrepreneuriat est la poursuite d’opportunités sans égard pour les ressources existantes ». Pr. Howard Stevenson

 

Lorsque le professeur avait conçu cette formule, en 1983, on considérait presque les chefs d’entreprises comme des personnes ayant un problème de personnalité et souffrant d’une addiction au risque. Mais il avait constaté pour sa part que la plupart des chefs d’entreprises essayaient d’éliminer le risque de leurs activités, et qu’ils étaient tous différents, sans que l’on puisse leur trouver des traits de personnalité communs.

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C’est pour cette raison qu’il avait davantage mis l’accent sur l’expérience de l’entreprise, dans sa définition, plutôt que sur la personnalité de son créateur. En outre, les chefs d’entreprises démarrent en général alors qu’ils sont pauvres, et ils poursuivent une opportunité sans que le manque de ressources ne les bloque.

 

La jeunesse africaine spécialement nigérienne doit avoir la perception de l’opportunité en dépit du manque de ressources. C’est ce qui différencie la façon dont les fondateurs gèrent leur entreprise, par opposition aux administrateurs : ils tendent à mettre l’accent sur l’équipe plutôt que sur la hiérarchie et préfèrent les décisions rapides à la délibération. Et avec leurs collaborateurs, ils proposent de leur faire voir plus de choses pour qu’ils comprennent quelles sont leurs perspectives à long terme, plutôt que de s’attacher aux ressources maigres du présent.

 

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Voir les solutions à la place des problèmes doit être l’idée motrice d’un entrepreneur. Mais vu la précarité de la situation économique sur le continent, ils sont des millions de jeunes « entrepreneurs » ignorant les règles d’or du secteur. Ils sont des porteurs de projets pouvant mettre le continent sur la voie d’un développement durable mais toujours ‘’ esclaves’’ de l’ancienne mentalité : « Tous les feux, doivent être verts avant de lancer leurs projets. »

Une mentalité que cette jeunesse nigérienne doit défaire et prendre l’opportunité comme seule réelle ressource afin de prendre son envol et de surcroit être actrice du développement du continent.

@Ben Ankrah pour AJSF

 

13 janvier 2018

ENTREPRENDRE AUTREMENT

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C’est ce que la jeunesse africaine spécialement nigérienne fait depuis des années. Elle a décidé d’entreprendre autrement à travers de petits commerces ambulants. Trouvable à chaque coin de rue, ils sont les amis de tous.

En effet, ce sont des jeunes hommes généralement l’âge comprise entre 17 et 30 ans qui sillonnent les rues des villes du Niger portant ou poussant leur commerce. Ils sont des centaines à donner du bonheur à la population. Leur commerce est composé de petites choses telles que des friandises, du café fait et bu sur place et des cigarettes.

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Communément appelés « Café Koyo » (Vendeur de café) en langue Zarma, ils sont très accueillants et ouverts. Très habiles et parfois pressés par le temps, le « café koyo » peut vous servir un bon verre de café en moins de dix secondes pour vous redonner le sourire.

Job en temps partiel pour les uns et en plein temps pour les autres, il constitue une porte de sortie pour tous ces jeunes en quête de stabilité financière. Avec des revenus maigres, la plupart de ces entrepreneurs disent :

‘’C’est mieux que de passer toute la journée à parler avec des amis et rentrer le soir à la maison sans aucune pièce en poche.’’

D’autres :

‘’Je le fais provisoirement, le temps de trouver quelque chose de plus rentable et moins fatiguant.’’

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Vu la précarité de l’économie dans les pays africains et les conditions de vie socioéconomique des populations, ce job parmi tant d’autres reste l’ultime chance pour la jeunesse du continent de sortir de l’extrême pauvreté.

Ben Ankrah pour AJSF

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10 janvier 2018

RAPPORT DE SENSIBILISATION DU 22 /12/2017 AU COMPLEXE SCOLAIRE DAKODI (SEGBE DOUANE)

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Fidèle à ses objectifs, l’Association pour une Jeunesse Sans Frontières (AJSF) a encore mené le vendredi 22 Décembre 2017, une action de terrain. Il s’agit d’une séance de sensibilisation au complexe scolaire DAKODI, portant sur le thème :

PERIODES DES FÊTES, QUELS DANGERS POUR LES ELEVES ?

Trois objectifs étaient assignés à cette activité à laquelle l’ensemble des apprenants de ladite complexe estimés à 350 élèves ont pris part :

    - Conscientiser les élèves en ces périodes de fêtes sur les dangers liés à la mauvaise fréquentation, la consommation de l’alcool, de la drogue et d’autres subsistances nocives

    - Rappeler aux élèves les comportements responsables

    - Accroitre la visibilité de l’AJSF

 

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Rappelons que cette sensibilisation cadre avec les activités de libération des élèves pour les congés de Noël. Ainsi, c’était par une brève présentation de l’AJSF faite par le vice-président que le ton a été lancé. S’en est suivi la présentation de l’équipe de sensibilisation.

Dans son déroulement, la séance a connu les interventions alternées des membres fondateurs de l’AJSF autours de trois grandes articulations :

 

    La première : Les dangers liés à la prise d’alcool de même que les conséquences qui peuvent en découler.

    La deuxième : les dangers liés à la prise de drogues et autres substances nocives

    La troisième : les résolutions et comportements sains à adopter sans oublier la phase des réponses aux questions.

 

Par ailleurs, un accent particulier a été mis sur les problèmes et situations de vulnérabilité auxquelles les élèves peuvent être exposés en ces périodes : les problèmes de concentration ou de rétention en classe, les grossesses, les abus sexuels, l’échec et l’abandon scolaire in fine entre autres.

 

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Précisions que la séance a débuté vers 11h30 et a duré environ trois quart d’heure. Ci-joint en annexe, les différentes photos de la séance.

Suite aux remerciements du vice-président de l’AJSF aux responsables et élèves de DAKODI, la sensibilisation a pris fin sur une note de satisfaction immortalisée par une photo de famille.

 

Les rapporteurs : Nobel L. SEGBEAYA et Djagbalo K. AWOKOU

 

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18 octobre 2017

«La Jeunesse spécialement africaine...le développement durable du continent.» Ben Ankrah, Membre Fondateur de l'AJSF

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‘’ La Jeunesse spécialement africaine ; c’est comme une machine humaine dotée d’une intelligence et source d’énergie inépuisables qui ne demande qu’à être piloter pour le développement durable du continent.

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Elle a du potentiel, du dynamisme, de la créativité et de l’idéalisme ainsi que la capacité à changer les choses. Les jeunes africains peuvent briser les schémas du passé et mettre le continent sur la voie d’un avenir meilleur et durable. Alors nous devons, non seulement, renouveler notre détermination à investir plus dans l’autonomisation des jeunes mais aussi travailler avec eux. Si nous tenons nos promesses ; et nous les tiendrons aussi, ceux-ci pourront mieux concrétiser les objectifs de l’AJSF dans le domaine de de l’Education, de la Paix et du Développement durable de l’Afrique. ‘’

@AJSF 2017

11 juillet 2017

‘’ Et si toute l’Afrique...à investir plus dans la Jeunesse du continent noir ! ‘’

ABIRA

 

 

‘’ Et si toute l’Afrique ; les leaders politiques, religieux, les hommes d’affaire, les institutions privées que publiques, les entrepreneurs, les artistes, les parents ; renouvellent leur  détermination à investir plus dans la Jeunesse du continent noir ! ‘’

 

Une jeunesse pleine de motivation, déterminée et source de potentiels incroyables. Des jeunes dotés de génie créatif avec une soif de connaissance.

 

Nous croyons en cette jeunesse que nous qualifions de « Jeunesse créative » puisqu’elle est la source même de tous les procédés et créations nouveaux de ses dernières décennies. La pierre principale du renouveau africain.

 

Pourquoi chercher ailleurs les solutions quand notre jeunesse en est un As?

 

Nos remerciements vont entre-temps aux professeurs, ces braves qui créent les grands leaders et entrepreneurs du continent ; aux Ministère de l’Education de Base et de l’Alphabétisation du Niger, Ministère des Enseignement Primaires Secondaires et de la Formation Professionnelle du Togo, MAB – VITRERIE ; pour leur détermination à investir dans la formation des futurs acteurs du développement durable de l’Afrique.’’

 

 

 

                                                                                                                                 L’EQUIPE AJSF

 

11 juillet 2017

‘’ Et si toute l’Afrique...à investir plus dans la Jeunesse du continent noir ! ‘’

ABIRA

 

‘’ Et si toute l’Afrique ; les leaders politiques, religieux, les hommes d’affaire, les institutions privées que publiques, les entrepreneurs, les artistes, les parents ; renouvellent leur  détermination à investir plus dans la Jeunesse du continent noir ! ‘’

Une jeunesse pleine de motivation, déterminée et source de potentiels incroyables. Des jeunes dotés de génie créatif avec une soif de connaissance.

Nous croyons en cette jeunesse que nous qualifions de « Jeunesse créative » puisqu’elle est la source même de tous les procédés et créations nouveaux de ses dernières décennies. La pierre principale du renouveau africain.

Pourquoi chercher ailleurs les solutions quand notre jeunesse en est un As?

Nos remerciements vont entre-temps aux professeurs, ces braves qui créent les grands leaders et entrepreneurs du continent ; aux Ministère de l’Education de Base et de l’Alphabétisation du Niger, Ministère des Enseignement Primaires Secondaires et de la Formation Professionnelle du Togo, MAB – VITRERIE ; pour leur détermination à investir dans la formation des futurs acteurs du développement durable de l’Afrique.’’

 

                                                                                                                                 L’EQUIPE AJSF

 

3 juillet 2017

« ..Pourquoi vendre mes œuvres si cela peut être une source de motivation, d’espoir et de joie pour les jeunes africains… ? »

Projet_DESSIN Article en Pdf

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Artiste dessinateur et conteur, AICHA ABASS KADI véhicule un message de Paix, d’Amour, d’unité et de motivation. A travers ses contes illustrés, l’on se rend compte de ce brassage culturel ; qui est une caractéristique fondamentale du concept « Sans Frontières ».

L’artiste ouverte d’esprit et croyante se démarque de la gente féminine nigérienne à travers sa passion pour l’Art.

En effet, AICHA ABASS KADI a découvert sa passion pour le dessin à l’âge de 6 ans et aujourd’hui du haut de ses 16 ans, l’artiste a à son actif plus de 3 œuvres (Contes Illustrés et Bandes dessinées).

 

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« Ma plus grande motivation et joie est la confiance absolue que j’ai en mon art.... pourquoi vendre mes œuvres si cela peut être une source de motivation, d’espoir et de joie pour les jeunes africains spécialement nigériens ?.... »

Résidant Niamey où elle poursuit ses études en comptabilité et gestion,  AICHA ABASS KADI est  de nationalité nigérienne. Comme tout jeune, elle a de grands rêves dont créer des bibliothèques modernes dans chaque ville du Niger et pourquoi pas au-delà de ses frontières pour soutenir le système éducatif scolaire et la jeunesse dans sa grande quête de connaissance. L’Education n’est-elle pas la base de tout développement ?

 

L’artiste désire faire son entrée en éditant un de ses œuvres et en faire don aux établissements scolaires privés comme publiques sur tout le territoire nigérien et ainsi apporter sa contribution à la réalisation de l’un des objectifs du développement durable établis par les Nations-Unies : Une éducation de qualité. 

 

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EXTRAITS DES ŒUVRES

EXTRAIT_OEUVRES PDF

 

 

ASSOCIATION POUR UNE JEUNESSE SANS FRONTIERES

REPRESENTATION NIGER

Tél : +227 92785114 / 80037414 / 84638532

Email : jsfasso@gmail.com

Blog : jsfasso.canalblog.com

Niamey – Niger

«  UNIS POUR UN MONDE MEILLEUR  »

 

18 juin 2017

THEME : ADOLESCENT ET DEVELOPPEMENT

   

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« IMPORTANCE DE L’ASSOCIATION D’UN METIER AUX ETUDES DES LE BASE AGE ? »

 

RESUME

Comme prévu dans les projets futurs du Rapport d’exercice 2016 – 2017, une équipe de l’AJSF s’est rendu le 09 Juin 2017 dans l’enceinte du Collège AKOFA sise à Amoutivé (Lomé) en vue d’une sensibilisation portant sur le thème et sous-thème :

 

ADOLESCENT ET DEVELOPPEMENT

« L’importance  de l’association d’un métier aux études dès le base âge. »

 

PROGRAMME

L’action a durée deux (2) heures et s’est déroulé comme suit :

 

15H00    Accueil et installation des participants

15H10    Mots du chef d’établissement

15H15    Présentation de l’AJSF

16H20    Exposé du thème suivi des questions d’éclaircissement

16H30    Jeux de questions et réponses dotés de prix

16H45    Phase de conscientisation des adolescents à l’association d’un métier aux études.

17H00    Mots du Président de l’AJSF et appui au Collège AKOFA en matériels didactique suivi de prise de vue.

 

ACTION EN IMAGE

 

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